29 confidences

Quelques mots de présentation me concernant ne seraient pas superflus !

Abstraction faite que mes parents ont choisi de me prénommer Alexandra, je me suis peu à peu construite et les points qui suivent vous donneront un échantillon de ma nature.

  • j’ai écrit beaucoup beaucoup beaucoup de textes personnels, 2 romans aboutis (mais restés figés) et 2 autres jamais terminés
  • je suis titulaire d’un master 2 en communication
  • j’aime retaper de vieux meubles
  • et créer une décoration originale et unique
  • “joviale” est le premier mot que mon entourage utilise pour me décrire
  • plus jeune, durant les inter-cours, je dessinais sur Illustrator
  • je sais travailler rapidement, mais peux peaufiner par soucis de rendre un « travail bien réalisé »
  • j’aime les couleurs vives et j’en porte
  • j’ai habité 3 ans à Paris et la vie parisienne m’a beaucoup appris
  • je lis souvent le dernier paragraphe des livres avant de l’atteindre
  • j’aurais aimé exercer les métiers d’architecte d’intérieur, tapissière, orthophoniste, romancière, joaillière, designer d’objets entre autres
  • plus jeune, j’ai écrit “la vie est une pomme, mordez dedans, n’en faites pas de la compote”
  • je bricole dès que j’en ai le loisir
  • j’écris dès que j’en ai le loisir
  • quand j’entreprends un projet, je le réalise jusqu’à être en satisfaite
  • j’aime les gens et me nourris des échanges
  • si je consulte l’heure, ma vision est constamment happée par une “heure miroir”
  • mon cerveau ne s’arrête jamais de penser, même la nuit
  • j’idolâtre la langue française
  • j’ai toujours souhaité être entrepreneuse
  • je suis impatiente de vieillir par curiosité de la vie
  • le orange est ma couleur de prédilection
  • j’ai une passion particulière pour les brocantes et les objets qui ont vécus
  • j’ai fait du piano 7 années durant et je rêve de me replonger dans mes partitions
  • je suis de nature sociable et communicative
  • j’aime être spectatrice de la rue et inventer des vies aux passants
  • je travaille en silence au son des cliquetis de mes touches
  • je supporte mal les fautes d’orthographe
  • je collectionne les vieilles clés, une symbolique qui me permettra peut-être d’ouvrir des portes et d’accéder à ce qui est fermé

Si vous avez lu jusqu’au bout, il est temps de nous rencontrer pour échanger sur votre projet.

Et si par tout hasard il est 11h13, je vous promets un café !

11h13 ou onze heures treize ?

Pourquoi ce choix me direz-vous ?
“Et pourquoi pas ?” vous répondrais-je…

Parce qu’à 11h11 mes voeux ne se réalisaient pas toujours ou parce que je n’avais pas de rouge à portée de main – selon la croyance de certains mortels -, j’ai décalé de deux minutes l’heure sur laquelle mes yeux s’arrêtaient quotidiennement.

Et pourquoi “onze heures treize” et non “11h13” ?
J’utilise parfois 11h13 pour que votre esprit comprenne rapidement, mais mon attrait pour les lettres a été le plus fort.

Et puis qui ne regarde pas l’heure en travaillant ?
Pour ma part, je réfléchis en permanence, et à 11h13, mon esprit est sans aucun doute en pleine ébullition.

Alors on saute ?

Il a fini par arriver ce jour de reprise qui n’en était pas un.
Je me lève normalement, les vacances sont terminées. Mais le travail quotidien en entreprise aussi. Je m’égare quelques instants, l’esprit empli d’interrogations aussi diverses les unes que les autres.

“Vagabonder dans mes pensées” n’était pas prévu dans mon emploi du temps. Je râle contre ce “moi” qui ne me ressemble pas.

J’ouvre mon ordinateur, à la recherche de cette motivation dont j’avais établi les contours. Le fond d’écran a des airs de vacances. Mince ! Je croise mon regard sur mon écran de portable posé à ma droite. Moi aussi j’ai des faux airs de vacances. Ni une, ni deux, je reprends mon attirail créateur de bonne mine, déterminée à affronter ce nouveau moi-même ! Enfin apprêtée, je me sens gonflée d’un élan neuf. Et mon inspiration reprend vie elle aussi !

Ma nouvelle activité ne naîtra pas sans ma volonté, ma motivation et mon travail. Et je sais que tout commence aujourd’hui, je n’ai pas de temps à perdre à “me poser” pour “savourer” ce nouveau temps libre.

Mes doigts s’arquent, parés à tâter du clavier, mes yeux se plissent, disposés à capter la moindre information qui me ferait démarrer et mon cerveau cherche, range dans ses tiroirs, retient, guette… Mon corps est enfin résolu à avancer. Et même si je n’ai plus mes collègues à quelques centimètres de moi et que le silence est désormais mon allié, en quelques minutes, tout a changé, je suis enfin parée au grand saut !