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Un client exigeant

Connaissant mon métier, “on” a formulé une requête spéciale auprès de moi : “écrire une histoire”. Je me suis exécutée, un peu anxieuse face à cette demande, mon client étant “friand” de ce type d’expérience et non moins exigeant. Ayant déjà modelé les mots, la tâche s’avérait réalisable. Mais quand il a ajouté “Je voudrais un dessin !”, j’ai expiré intérieurement plusieurs fois. Et puis j’ai obtempéré. Il faut dire que, pour la première fois, je tombais sur un client peu commode… J’ai pris le parti de vous partager cette expérience. L’important est qu’il ait été conquis, et moi, ravie de ses sourires et autres câlins. Quand on a un fiston qui découvre la lecture et y prend goût, comment résister ?

Nous avons intitulé l’histoire simplement et spontanément :

Sur un nuage

Il pleut, le ciel gronde, Émile râle. 

« Pourquoi es-tu en colère Émile ? » lui demande sa maman.

Le petit garçon baisse la tête et de ses yeux coulent quelques larmes. Il ne sait pas vraiment pourquoi il est d’humeur morose. Il voulait aller courir au parc, ramasser des marrons, jouer au ballon. Il en a marre marre marre des adultes qui lui dictent des règles toute la journée ! Il s’est fâché avec Tom, son meilleur copain, parce qu’il a préféré se mettre à côté de Lila dans le bus en allant à la piscine. Pour toutes ces choses, il est grognon.

Sa maman l’enlace et pointe du doigt une éclaircie au loin. 

« Regarde ! »

Ébahi, Émile aperçoit une échelle qui descend du ciel. Il ouvre de grands yeux ronds et oublie bien vite ses larmes, ses soucis d’école et ses envies de grands espaces. 

« Viens mon grand ! » 

Sa maman rit et lui tend la main, l’entraînant vers cette étrange échelle. Émile hésite, ne comprend pas bien et croit rêver. 

« Viens mon grand ! répète sa maman souriant toujours, Viens mon petit homme ! »

Émile lui serre la main et se laisse guider vers la percée lumineuse.

« Grimpe Émile, je te suis ! » le rassure sa maman. 

Il pose un pied sur le premier barreau et s’arrête, il ne perçoit pas le dernier d’entre eux. L’échelle transperce l’épaisse brume. Il continue son ascension, déterminé, en se promettant de dépasser les nuages et d’atteindre le haut de cette échelle. Il pleut toujours autour de lui et le ciel râle autant que lui lorsqu’il était en colère. 

Soudain, le petit garçon sent une brise fraîche lui caresser la joue en même temps qu’il est ébloui par la lumière du soleil. Machinalement, il protège son regard d’une main. 

« Avance encore Émile ! Avance ! », l’encourage sa maman.

Émile cligne des yeux, il est émerveillé. Autour de lui s’étend l’horizon, parsemé de petits espaces cotonneux. Il hésite en tendant sa main, quelle peut être la sensation, barbe à papa ou coton douillet ? 

« Regarde Émile, regarde ! » rit sa maman. Elle a sauté de l’échelle et marche sur un nuage bien épais, puis rebondit sur un autre. Le garçonnet n’ose pas quitter son perchoir. Sa maman revient vers lui, l’invite à descendre et referme sa main sur des doigts enfantins un peu tremblotants. Émile fait un pas. 

Émile est inquiet, il vacille. 

Émile se sent porter, il rit. 

Il tient debout ! Il marche sur un nuage ! 

Ses éclats de rire se perdent dans cet océan blanc. La surface est souple, mais résistante. Il court bientôt d’un cumulus à l’autre, un peu euphorique de découvrir cet ailleurs, ce nouveau monde au sol blanc et à l’horizon bleu. 

« Viens Émile ! Viens voir ! » appelle sa maman. 

Il cesse ses cabrioles et l’observe. Elle est maintenant allongée, son ventre contre un nuage, ses mains soutenant sa tête et lui fait signe d’approcher. Son corps est entouré d’une brume blanche, presque entièrement recouvert. Émile s’avance vers elle, étonné. 

« Installe-toi à côté de moi et regarde en bas ! »

Émile s’exécute. 

« Regarde comme on est loin de cette agitation, regarde toutes ces fourmis qui s’agitent ! Voilà d’où nous venons ! Vois comme ils sont petits ceux qui bougent et bougent encore, ceux qui râlent et qui remuent ! Émile, rends-toi compte comme nous sommes sereins lorsque tout est calme !  Écoute Émile, écoute ce joyeux silence ! Perçois ce petit vent tout doux et les rayons du soleil qui te chatouillent ! Sens comme nous sommes apaisés et légers ! »

Émile écoute sa maman sans un mot. Lui qui était en colère sur Terre, le voici tout apaisé à présent. Il observe les routes noires et les petites voitures qui roulent, les maisons et leurs piscines, les champs et quelques moutons en bas, tout en bas. Il est loin de ce tumulte, il est bien sur son nuage.

« Émile, ferme les yeux et laisse-toi porter par ce nuage. Tu peux venir t’y réfugier chaque fois que tu le souhaites, chaque fois que tu es triste ou en colère. C’est ton petit coin à toi, ton espace tout doux et tout calme. »

Le petit garçon sourit, il est heureux de partager ce secret avec sa maman. 

« Je pourrai y revenir tout seul ?

– Bien sûr, tu connais le chemin maintenant ! Et cette colère, est-elle partie ?
– Oui Maman, elle est restée en bas, avec la pluie et l’orage ! », dit Émile rêveur, du haut de son petit nuage. 

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Mettons l’accent sur les accents !

C’est en lisant une simple phrase que je me suis demandé quelle était l’origine des accents en français. Certes, ils en modifient le son de la lettre et donc la prononciation du mot, mais pourquoi ont-ils été peu à peu intégrés à notre langue ? 

L’origine

Même si son nom est issu du peuple germanique qu’étaient les Francs, le français n’en reste pas moins une langue qui trouve ses origines dans le latin. Vous me direz que ce n’est une surprise pour personne ! Mais l’intégration du latin en Gaule ne s’est pas faite sans que ses habitants mettent de côté leurs propres prononciations, leurs accents régionaux.

Au Moyen-Âge, le latin prend des formes différentes et des dialectes apparaissent. Considéré comme « langue du roi », le français s’affirme au XIIe siècle, sans pour autant faire figurer d’accent dans son écriture. Il évolue constamment et détrône notre « langue morte » en 1539 sur décision de François Ier

Et les accents me direz-vous ? Pendant la Renaissance et son lot de développements divers, les lettres héritées du latin ne permettent pas de reproduire avec exactitude les sons utilisés en français. Et par quoi pallie-t-on ce manque ? Vous l’avez deviné !

Comment les accents s’utilisent-ils ?

En français, nous pouvons compter quatre types d’accents : aigu, grave, circonflexe ou tréma. Intégrés au français au fur et à mesure de son évolution, ils en coiffent certaines voyelles. 

L’accent grave a d’abord été utilisé sur le « a » pour le différencier des homophones comme a/à, la/là ou ça/çà. Puis, il a été introduit sur le « e ouvert » au XVIIIe siècle. Aviez-vous remarqué que le seul mot de notre langue pour lequel le « ù » est employé est « où » ?! Cerise sur le gâteau, une touche de notre clavier lui est dédiée !

L’accent circonflexe, lui, est utilisé pour discerner le sens de certains mots : une tache/une tâche, un mur/mûr, une boîte/il boite… mais aussi pour pallier au « s » de l’ancien français : chasteau devenu château, forest évoluant en forêt ou encore goust en goût. Le reste de son emploi est une histoire de conjugaison et de pronoms possessifs. De quoi finir avec un mal de « test », enfin, de tête !

Et notre accent aigu ? Apparu vers 1600, on le trouve uniquement sur le « e » ! Il est utilisé en première lettre d’un mot – écriture – et en dernière position ou suivi de lettres muettes – dictées -. L’accent aigu est également placé sur un « e » : entre deux consonnes – rédaction – ou précédant une syllabe sans « e » muet – décoration -. Qu’est-ce qu’on l’aime notre accent aigu !

Et le tréma ? Placé sur un « i », un « e » ou un « u », ces deux petits point nous indiquent que la voyelle qui précède se prononce de façon distincte. Je vous avoue, sans pour autant en comprendre la raison avoir toujours eu un attrait pour les mots utilisant le tréma : capharnaüm, héroïne, laïcité, ciguë… Parfois, les choses ne peuvent s’expliquer… Tout comme mon attrait pour notre langue française si complexe, mais si passionnante à décrypter !

Sources : RTL – Un bonbon sur la langue – Muriel Gilbert ; L’histoire du français ; Projet Voltaire ; La France Pittoresque 

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Le réseau au féminin

11h13 lorsque je commence à écrire, est-ce un hasard ? Y verra un signe qui veut. Nous sommes le 8 mars, “Journée internationale du droit des femmes”, est-ce important ? D’habitude, je n’attache pas grand intérêt à ce jour qui doit, selon moi, ne pas être une exception. Et puis aujourd’hui fut.

Il faut dire que le hasard du jour était trop beau, voilà 5 bons mois que je n’ai pas fait d’apparition “bloguesque”, moi qui clamais haut et fort qu’un blog s’entretient ! Je peux me taper sur les doigts, effectivement !

Le sujet que je voudrais évoquer a, en réalité, pris la forme d’une étincelle ce matin dans mon esprit, laissant apparaître un sourire malicieux intérieur.

Le réseau toujours le réseau

Il est 6h20 lorsque j’ouvre un œil, l’autre n’a pas vraiment la motivation de l’imiter. Il y est pourtant bien contraint car mes pieds touchent déjà le sol en même temps que ma main droite impose au réveil de cesser son tumulte ! “Secoue-toi !” hurle mon cerveau gauche au droit, “C’est pour parfaire ton réseau, rencontrer de nouvelles personnes et (accessoirement), te remplir la panse de viennoiseries !” Bon, alors si c’est pour le réseau – ma panse n’étant pas une raison suffisante – ! Lorsque je franchis la porte de l’espace de co-working l’Oasis, quelques personnes sont déjà installées autour d’une table aux victuailles déjà bien abondantes. La particularité de ce petit déjeuner ? Virginie, Soline, Anaïs, Valérie, Émilie, Gaëlle, Stéphanie, Caroline, Ingrid, Céline, Camélia… Des femmes, des femmes, des femmes ! Nous sommes une jolie dizaine à s’être inscrites au petit déjeuner du Club des Entreprises de Cenon à 7h30. Le but ? Pouvoir échanger sur nos expériences de vie. Nos âges oscillent entre 21 ans et la belle quarantaine, toutes le sourire aux lèvres et, comme le disait Madame Gomme, mon institutrice de CP (oui, oui !), “les oreilles en feuilles de chou”.

Lorsque je m’assois, après un rapide coup d’œil, je sais que je suis satisfaite d’être parmi elles.

Histoires de femmes

Nous laissons nos paroles se délier et faisons naturellement connaissance lors d’un tour de table. À chaque femme un parcours de vie, cela va de soit. Et puis les croisements d’expériences, quelques années passées à l’étranger, une passion pour le sport, des envies créatives, la fuite d’une vie parisienne ou la déception de l’avoir goûtée trop furtivement. Des études chaotiques, une reconversion, la mutation d’un époux, des enfants ou pas, une reconstruction. Chacune d’elle a réfléchi sans trop cogiter pour se lancer au risque de rester figée. Chacune peut citer des opportunités saisies, des rencontres charnières, des difficultés constructives. Chacune ressent en elle une envie d’avancer, un goût du risque plus ou moins modéré, des questionnements sur l’avenir, mais aussi une motivation bien présente. Que ces rencontres sont chaleureuses, bienveillantes et lumineuses !

Je sors avec un certain entrain. Est-ce plus simple d’échanger entre femmes ? Certainement. Cette journée sème dans mon esprit une petite lueur de malice, les rencontres ont un petit quelque chose de magique.

23h13 lorsque je décide d’apposer mon point final – non, je n’ai tout de même pas passé 12 heures à rédiger ! – Est-ce un hasard ? Y verra un signe qui veut…

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Le premier client

Voilà longtemps que je dois publier cet article de blog. Pas question de procrastiner, ni de faire partie de “ceux qui ont un blog, mais qui y postent deux articles en totalité”. D’habitude, je tente d’être concise, mais le sujet que je vais traiter est un partage ! Mon “premier client” mérite tout de même votre attention !

La rencontre

Fortuite. En souhaitant imprimer un livre pour ma grand-mère. Le contact s’établit. De mon point de vue, on parle de “feeling”. Je viens récupérer le livre, je m’éternise autour des documents présents dans l’imprimerie, tous ces livres qui trônent, ce papier qui fait leur savoir-faire. C’est “drôle”, je me suis toujours interrogée sur ce métier, parlons simplement, je l’ai toujours “aimé”. Pourquoi ? Une petite voix me chuchote “ta curiosité, évidemment !” Au détour de la conversation, je tends ma carte de visite en annonçant “je vais lancer mon activité”. La sensation est étrange. Un mélange de liberté et de fierté croise de la compréhension, de l’encouragement. À ce moment-là, mon objectif est de “me faire connaître”. Finalement, quelle que soit la situation, la personne qui se trouve face à moi, c’est le cas. Onze heures treize et moi ne formons plus qu’une entité.

Les prémices

Un jour de mars, un membre de l’équipe me demande conseil. C’est génial de se sentir utile, de faire valoir ses compétences. Un petit feu d’artifice explose dans mon intérieur. Le conseil donné engendre un devis. Ce dernier signé, je débute mon activité.

Ils sont quatre associés, animés par la passion de l’imprimerie. Ils ne me le disent pas, mais je le ressens, peut-être comme celle qui chatouille mes petits doigts lorsque j’écris ou que je manie mes outils de graphisme. “Carte blanche” est le terme qu’ils mettent en avant pour définir le travail que je dois leur fournir. Dans mon esprit souffle un petit vent de liberté d’expression, mon expression.

Je leur propose des pistes de réflexions, échange sur leurs souhaits, leurs envies de communication, tente de m’imprégner de leurs histoire, métier, culture d’entreprise. Leur retour ? “Carte blanche” ! Bon d’accord, c’est parti ! Mes visites dans l’entreprise sont, à chaque fois, teintées de joie et de motivation. Il faut avouer que leur second métier s’appelle “sourire communicatif” !

Et aujourd’hui ?

“Tu es chez toi, tu viens quand tu veux !” est la plus jolie phrase prononcée à mon égard. Je travaille avec beaucoup de curiosité, une envie d’apprendre encore de leur métier et d’eux, mes idées se mettent en place et s’ajoutent les unes aux autres. Je me sens légitime dans mon travail, comprise dans ce que je crée et ils approuvent.

Le “must” dans tout ça ? Le coup de pouce et la confiance qu’ils m’ont offerts pour poursuivre ma quête. Et puis le deuxième client est arrivé, bientôt le troisième. L’oiseau que je suis commence à bâtir son nid. Le “merci” que je leur témoigne est “particulier”, entre reconnaissance et pudeur. “Particulier”, un peu comme tous les premiers pas. Car après tout, le premier client, c’est comme toutes les premières fois, il a une place à part, dans un coin de notre esprit.

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Focus sur la police

Non, je ne me permettrai pas de décortiquer le fonctionnement de la police nationale. Et puis, le rapport avec mon activité serait bien aux antipodes de mes sujets de discussion, vous en conviendrez !

La police est l’autre nom de la typographie, typo pour ses intimes utilisateurs. Connaissez-vous réellement ses différentes significations, son impact et pourquoi un style peut être choisi face à un autre ? Halte, on ne bouge plus ! L’explication se trouve ci-dessous !

Comment choisir sa police ?

Quel que soit votre projet, le choix de la police s’opère de la même façon. Que vous souhaitiez mettre en page un titre de roman, vous positionner sur l’écriture du nom de votre entreprise ou la moderniser, étudiez le caractère, les valeurs que vous souhaitez véhiculer.

Déterminez l’histoire, l’environnement, le positionnement de votre entreprise ou le type d’intrigue, le style de votre roman. Cette étape réalisée, à vous de juger s’il est préférable d’utiliser une police avec ou sans serif (serif = empattement au niveau des lettres).

Quelques petits trucs… une typographie sans serif reflètera la modernité, le dynamisme si elle est ronde ; l’échange, la féminité voire l’amour si elle est cursive. Avec serif, elle donnera une impression plus classique, neutre ou élégante si elle est “rectiligne”. Mais elle dégagera une impression de force et d’assurance avec une certaine épaisseur.

 Quel caractère !

N’oubliez pas que le choix de votre police d’écriture ira de pair avec l’image que vous souhaitez véhiculer. Elle est votre façon de vous exprimer, votre voix, votre caractère. À travers elle, votre but est de vous différencier de vos concurrents, de marquer votre singularité.

N’ayez pas peur de modeler une typographie existante, elle en sera davantage unique et le reflet de la personnalité que vous voulez mettre en lumière. D’ailleurs, les marques créent leurs propres polices en guise d’identité visuelle. C’est le procédé que j’ai choisi pour onze heures treize.

Finalement, tout peut être résumé à travers ces deux mots accolés “identité visuelle”. Un peu de caractère à révéler, à faire deviner, à illustrer, à décrire. Une façon de vous dévoiler, mais aussi, à travers quelques lettres, de laisser une bonne impression !

 

Dernière petite chose entre vous et moi. J’ai convié un de mes clients Aquiprint à mutualiser cet article sur leur blog aujourd’hui. N’hésitez pas à solliciter cette chouette imprimerie pour vos projets “print”, vous y serez accueilli(e) chaleureusement !

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Coup de pouce, pied à l’étrier, les autres noms du “réseau”

La plupart d’entre vous qui sont (oui oui, le verbe s’accorde à la troisième personne du pluriel !) sortis de l’école et ont recherché un emploi, ont déjà très certainement entendu de la bouche de leurs pairs “Entretenez votre réseau !”  Entre mon BTS et mon master 2, j’écoutais ces conseils d’une oreille, pas encore trop concernée, un peu comme un banal écho.

Petit à petit l’oiseau…

L’ouverture aux autres paraît être le meilleur moyen de débuter et de maintenir des relations. Lorsque nous nous considérons timide, la tâche paraît plus ardue, mais de loin impossible ! Un pianiste ne joue pas du Mozart dès sa première leçon ! Persévérez et sentez-vous légitime, à la place que vous occupez, maîtrisez les sujets de discussion en qualité d'”expert” de votre domaine.

Et entre stages, postes occupés, loisirs, vie de tous les jours, vos contacts s’élargissent un peu plus, se renforcent, se relâchent, se rattrapent. Le réseau s’entretient. Il est important de ne pas cesser d’exister après un passage dans une entreprise. Quelques nouvelles ou une pensée pour la nouvelle année sont l’occasion de conserver une visibilité auprès de vos contacts.

Et n’oublions pas aussi que le premier réseau reste l’entourage privé, pourquoi ne pas l’utiliser de la même façon ?

…fait son nid

Lorsque vous avez atteint votre objectif grâce à vos relations, ne cessez pas de “réseauter”. Remerciez les personnes qui vous ont aidé(e), mais entretenez toujours un contact. Cela permet de témoigner la considération que vous avez pour une personne, vous pouvez aussi vous rendre utile et être disposé(e) à aider à votre tour.

De mon côté, j’ai aussi appris à entretenir les relations. Et avec la création de ma petite entreprise, elles sont plus que nécessaires pour avancer. Certes, le “réseautage” peut paraître “intéressé”, mais la richesse qui en découle est bien plus importante. Pour l’anecdote, j’ai déjeuné, il y a peu, avec deux personnes rencontrées lors d’une mission, cela faisait 5 ans que je ne les avais pas croisées “de visu” (même si nous nous donnions quelques nouvelles entre temps). Ma journée s’est terminée avec un sourire béat et, avec les encouragements et autres compliments manifestés à mon égard, une motivation jamais égalée dans mon travail.

En prime ? Un rendez-vous et un nouveau contact ! À vous !

 

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Pourquoi savoir rédiger est important dans une entreprise ?

Voilà un moment que je n’ai pas pris soin de vous écrire. Peut-être parce que l’écriture occupe aujourd’hui mes journées et pour ma plus grande satisfaction.

En discutant autour de moi et avec mes clients, j’ai compris que la rédaction était perçue comme un “fardeau” plutôt que comme un “plaisir”. Écrire pour un blog, écrire pour un site Internet, écrire pour alimenter les réseaux sociaux, écrire “correctement” un mail… Au sein d’une entreprise, personne n’est réellement dédié à la rédaction, ou cette tâche est effectuée conjointement à d’autres.

Le manque de temps, d’envie, la procrastination, la non-maîtrise de la langue française amènent un désintérêt de l’aspect rédactionnel.

Alors pourquoi est-ce important ?

D’abord pour l’image que vous véhiculez. Les lecteurs de votre site, d’articles de blog et autres contenus doivent prendre plaisir à parcourir les pages, les onglets, les mots. Et si c’est le cas, votre image en sera valorisée et ils reviendront. Un site, un article, un mail bien écrits sont synonymes de crédibilité. Quelle entreprise n’est pas désireuse de transmettre une représentation positive ? Et qui dit “représentation positive” dit “clients supplémentaires”.

Ensuite la maîtrise de l’orthographe rassure. Celle des mots aussi, mais l’orthographe reste une marque de confiance. Imaginez un instant recevoir deux devis, qu’ils soient tous deux soignés. L’un sans fautes de français, l’autre où vous en identifiez. Vers lequel pointerez-vous votre stylo pour signer ?

Une petite astuce : apprenez à être succinct ! Des phrases brèves, mais claires valent mieux que de longs paragraphes sans aération. La “respiration” est aussi importante pour faire vivre vos textes.

Et si pour vous, la rédaction reste rédhibitoire ou qu’elle n’est pas votre tasse de thé, je vous invite à me contacter ! Le thé, nous le boirons ensemble !

 

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Chaussure à son pied ?

Après plusieurs semaines de travail, mon projet se concrétise, j’avance dans mes tâches et barre, non sans un sourire satisfait, les éléments qui constituent ma « liste de missions ».
Vous, lecteur, ne vous questionnez sans doute pas sur le temps passé à créer ce site Internet ou à réfléchir sur mon activité. Et vous avez raison ! Peu importe mon travail, seul son résultat importe !

Je m’explique.
Ce que vous souhaitez en tant que client : de l’efficacité de ma part, un travail rigoureux et professionnel qui puisse vous contenter.
Ce que je cherche : pouvoir mener à bien mon projet, vous présenter mon savoir-faire et mes compétences.
Ce à quoi nous aspirons : un échange professionnel efficace de confiance.

Je peux venir à votre rencontre ou vous pouvez me contacter.
Sans vous, mon projet sera repoussé et sans moi, vous continuerez à procrastiner sur la perle rare que vous recherchez pour soulager votre équipe déjà débordée ou sur un projet à mettre en place.

Alors, on se contacte ?

29 confidences

Quelques mots de présentation me concernant ne seraient pas superflus !

Abstraction faite que mes parents ont choisi de me prénommer Alexandra, je me suis peu à peu construite et les points qui suivent vous donneront un échantillon de ma nature.

  • j’ai écrit beaucoup beaucoup beaucoup de textes personnels, 2 romans aboutis (mais restés figés) et 2 autres jamais terminés
  • je suis titulaire d’un master 2 en communication
  • j’aime retaper de vieux meubles
  • et créer une décoration originale et unique
  • “joviale” est le premier mot que mon entourage utilise pour me décrire
  • plus jeune, durant les inter-cours, je dessinais sur Illustrator
  • je sais travailler rapidement, mais peux peaufiner par soucis de rendre un « travail bien réalisé »
  • j’aime les couleurs vives et j’en porte
  • j’ai habité 3 ans à Paris et la vie parisienne m’a beaucoup appris
  • je lis souvent le dernier paragraphe des livres avant de l’atteindre
  • j’aurais aimé exercer les métiers d’architecte d’intérieur, tapissière, orthophoniste, romancière, joaillière, designer d’objets entre autres
  • plus jeune, j’ai écrit “la vie est une pomme, mordez dedans, n’en faites pas de la compote”
  • je bricole dès que j’en ai le loisir
  • j’écris dès que j’en ai le loisir
  • quand j’entreprends un projet, je le réalise jusqu’à être en satisfaite
  • j’aime les gens et me nourris des échanges
  • si je consulte l’heure, ma vision est constamment happée par une “heure miroir”
  • mon cerveau ne s’arrête jamais de penser, même la nuit
  • j’idolâtre la langue française
  • j’ai toujours souhaité être entrepreneuse
  • je suis impatiente de vieillir par curiosité de la vie
  • le orange est ma couleur de prédilection
  • j’ai une passion particulière pour les brocantes et les objets qui ont vécus
  • j’ai fait du piano 7 années durant et je rêve de me replonger dans mes partitions
  • je suis de nature sociable et communicative
  • j’aime être spectatrice de la rue et inventer des vies aux passants
  • je travaille en silence au son des cliquetis de mes touches
  • je supporte mal les fautes d’orthographe
  • je collectionne les vieilles clés, une symbolique qui me permettra peut-être d’ouvrir des portes et d’accéder à ce qui est fermé

Si vous avez lu jusqu’au bout, il est temps de nous rencontrer pour échanger sur votre projet.

Et si par tout hasard il est 11h13, je vous promets un café !